200 000 commotions cérébrales chaque année au Canada. Si l’on n’est pas un ou une athlète de haut niveau, une personne sur 10 000 sera touchée. Si l’on aspire à une carrière dans le domaine du sport professionnel, on connaîtra trois ou quatre commotions cérébrales avant d’avoir atteint l’âge de 20 ans. Mais comme il n’existe aucun diagnostic objectif et que les personnes touchées sont notoirement réticentes à faire part de leurs symptômes, ces chiffres devraient probablement être plus élevés qu’on ne veuille l’admettre. Qu’est-ce qui entrave l’acceptation et la bonne gestion des commotions cérébrales?
L’artiste, conservatrice et professeure adjointe Tania Willard, de la Nation Secwépemc et la titulaire de la chaire de recherche du Canada en santé et environnement autochtones, Chantelle Richmond, de la Nation Ojibway de Biigtigong Nishnaabeg s’entretiennent avec le très honorable Paul Martin.
Le réseau de contrôle océanique (Ocean Tracking Network) exploite les nouvelles technologies pour surveiller les baleines et élaborer des mesures d’intervention.
Des chercheurs et chercheuses de l’Université du Manitoba se tournent vers l’observatoire marin de Churchill pour mieux comprendre les changements climatiques
Les savoirs traditionnels autochtones sont à la base de l’initiative « De la prairie à la pharmacie » visant à combler les lacunes du Canada en matière de recherche sur les produits naturels, et à trouver de nouveaux médicaments contre le cancer grâce à la flore des prairies.
Une collection d’articles sur des chercheuses exceptionnelles pour marquer la Journée internationale des femmes et des filles de science (11 février) et la Journée internationale de la femme (8 mars)
Spécialiste mondialement reconnu de l’aménagement forestier et de la biodiversité, il rend surtout un vibrant hommage à ces organismes vivants que sont les arbres. Découvrez le franc succès d’un projet financé par la Fondation canadienne pour l’innovation.
La chercheuse Shelley L. Craig défend les droits des jeunes LGBTQ+ depuis des décennies. Ses recherches montrent que les médias sociaux représentent une bouée de sauvetage pour les jeunes queers.
Des chercheurs canadiens établissent des liens entre le système immunitaire et les maladies du cerveau, afin de mettre au point de meilleurs traitements pour soigner les troubles neurologiques.