Un réseau pancanadien de plus de 170 chercheurs et chercheuses rassemble l’expertise du pays dans le domaine de la glycomique pour créer des solutions en médecine et dans d’autres secteurs tournés vers la biologie
Grâce aux Observatoires de l’avenir de l’eau dans le monde, le Canada dispose d’un réseau de systèmes d’observation répartis sur l’ensemble des bassins d’eau douce du pays. Ce dispositif fournit les données et permet de lancer des alertes afin d’éviter les conséquences dévastatrices des inondations, des sécheresses et d’autres crises en lien avec l’eau qui se profilent à l’horizon
En Ontario, un réseau de lacs offre une perspective unique au monde des effets de l’activité humaine sur les lacs et les bassins versants qui nous aidera à trouver des moyens de les protéger
À l’Institut national de la recherche scientifique, on utilise le laser le plus puissant du Canada pour étudier une variété de sujets, de la croissance des plantes au comportement des métaux sous contrainte
Le télescope spatial James-Webb est équipé d’une invention exclusivement canadienne qui révèle, avec l’aide de recherches sur Terre, la composition des exoplanètes et la possibilité qu’elles abritent une forme de vie
Trois chercheuses et un chercheur expliquent comment la connaissance et le fait de chercher à comprendre peuvent aider à créer un avenir plus juste. Leur discussion sur l’activisme climatique, l'apprentissage de la justice sociale, les droits des LGBTQI+ ainsi que la santé publique et le bien-être est une source d’inspiration.
Anna Blakney souhaite faire connaître le pouvoir bénéfique des vaccins à ARN messager au monde entier. Elle utilise TikTok pour publier des faits scientifiques et défaire de fausses croyances.
200 000 commotions cérébrales chaque année au Canada. Si l’on n’est pas un ou une athlète de haut niveau, une personne sur 10 000 sera touchée. Si l’on aspire à une carrière dans le domaine du sport professionnel, on connaîtra trois ou quatre commotions cérébrales avant d’avoir atteint l’âge de 20 ans. Mais comme il n’existe aucun diagnostic objectif et que les personnes touchées sont notoirement réticentes à faire part de leurs symptômes, ces chiffres devraient probablement être plus élevés qu’on ne veuille l’admettre. Qu’est-ce qui entrave l’acceptation et la bonne gestion des commotions cérébrales?